Sans repères

Elle était fatiguée, cela faisait une heure qu'elle marchait, ignorant comment elle avait attérit ici.
Un vague souvenir de train, de travaille, et de certaines personnes...
En vrai, elle s'était prise pour quelqu'un d'autre, et cette personne devait travailler ici. Pour se rendre ici, elle avait du prendre le train. C'était son premier jour de travaille, et elle ressentit si bien le stress de la personne qu'elle crut être elle.
Elle avait tout oublié de ce qui s'était passé, et elle s'inquiétait pour sa mère et son père. Ils devaient avoir peurs, les pauvres... Elle voulut téléphoner à la cabine téléphonique se trouvant à proximité, mais le fil était cassé.
Elle tait tombée sur un quartier mal famé de Boston, les rues étaient dégradées et des injures fusaient dans tout les sens. Elle sentait la colère des gens, de plusieurs personnes à la fois, ça lui faisait al, elle n'arrivait pas à réfléchir distinctement...
Des larmes coulère,t sur ses joues tat elle souffrait, elles étaient chaudes et humides, ce qui était normal, mais elle décida de se concentrer là-dessus pour oublier son environement.
Elle prenait sa tête dans ses mains, elle avait beaucoup moins mal qu'avant, mais elle souffrait toujours.
Quelqu'un la bouscula, elle ignorait qui c'était.

Jean se dépechait, elle n'aimait pas ce quartier mal famé de Boston mais elle etait contrainte de passer par là . En se précipitant, elle avait bousculer une jeune fille qui avait un air assez mausade et fit tomber son sac par terre.

" Excuser moi, je n'ai pas fait attention "

puis Jean marqua une pause et vit que la jeune fille pleurait.

" ca n'a pas l'air d'aller mademoiselle ! "

Elle essuya ses larmes, elle ignorait ce qu'elle avait, pourquoi ça arrivait, on pouvait en conclure que non.
Elle leva le regard vers Jean, ses yeux baignés de larmes, bien qu'elle les ai essuyé il y avait à peine 2 secondes.
Elle onspira légèrement pour reprendre ses esprits à elle.

Je ne sais pas... Je crois que je me suis perdue, et j'ai paniquée pour rien.

Jean, de nature téméraire, voulait aider cette jeune fille en détresse . Mais comment faire avec une ados qui n'est pas au mieux de sa forme ? Elle se rapella certains moments de sa jeunesse et se dit que le mieux a faire c'était de traiter cette jeune fille comme une adulte !

"Ne vous en faites pas, je vais vous aider . Ou habitez vous ? C'est quoi voter prénom ?"

Les mensonges sotaient facilement de la bouche de la jeune fille. Elle ne mentait pas d'habitude, mais là elle était vraiment mal en point et ne réfléchissait pas à ses actes !

Je m'appelle Sandrine, j'habite pas loin de Boston. Je suis venue rendre viste à ma tante avec ma famille, et je les ai perdus de vue.

Grace a son don de téléphate, jean avait tout de suite remarquer que la jeune fille lui mentait, mais par contre, elle la sentait complètement débousolée, il fallait savoir pour son bien qui elle était vraiment et ce qu'elle fesais dans un quartier si mal famé !

" tu sais, tu peux tout me dire, j'ai bien vu que tu m'avait menti mais ce n'est rien, je ne t'en veux pas ..."

Elle rougit, Jean l'avais prise d'une manière qui l'étonnait beaucoup !

Je ne sais pas ce qui m'arrive. Je crois que je suis folle ! J'ai cru que j'avais trente ans tout à l'heure, et ue je venais traivaillé ici.

Mince mais tu sais comment tu t'appelles ?

Oui, quand même ! Je m'appelle Mitsuko.

Elle baissa les yeux, elle avait un peu la migraine et était un peu fatiguée.

"Enchantée , moi c'est Jean. Et tes parents ? tu sais où ils sont ? Tu as quel âge ?"

Jean questionnait la jeune fille par peur , la pauvre, elle devait être effrayée !

Effrayée oui, beaucoup. La preuve, une balle de basket avait tapée le sol et elle avait sursauté !

Mes parents ne sont pas loins de Boston et j'ai 15ans.

HJ : désolée je connais pas les villes à côté de Boston !

"Il savent que tu est ici ? Que venait tu faire ici ? "

Dit elle en souriant mais néamoins inquiète .

hj: t'en fait pas moi non plus !

Elle eut envie de courrir, elle allait vraiment passer pour la plus idiote du monde !

Ils ne savent rien, et moi non plus... je ne sais pas comment je suis arrivée ici...

"Ok, ne panique pas, on va s'arranger, je vais t'emener à l'institut où tu pourras appeler tes parents ."

Elle lui sourit avec inquiétude .

Elle ne savait pas si elle pouvait faire confiance à Jean, bien qu'elle ai l'ai gentille.
Mais elle ressentit plutôt de la bienveillance à son égart, et accepta de la suivre.

Jean la fit monter dans sa voiture et la conduit a l'institut .

hall d'entrée .